Nous venons de franchir la barre des dix rencontres, nous tenons à remercier tous ceux qui nous soutiennent, et qui viennent nous voir. Voici une petite rétrospective des évènements passés :
Saison 2013-2014
VENDREDI 11 AVRIL 2014 :
Comment faire l'ethnographie de la pornographie ?
Mathieu Trachman qui a travaillé sur le genre et la sexualité est venu essayer de répondre à cette question :
La pornographie est un terrain peu investi. Ce n'est pas seulement du fait de son illégitimité. C'est une catégorie floue, un monde dont les frontières ne sont pas évidentes à tracer. Et s'intéresser à la pornographie, c'est faire preuve d'un intérêt douteux vis à vis de représentations excitantes ou vulgaires. Il s'agira de se demander de quelles prises dispose l'enquêteur face à un tel objet, quelles sont les difficultés auxquelles il doit faire face et les stratégies de recherche possibles.
VENDREDI 7 MARS 2014 :
Muriel Champy, doctorante à Nanterre viendra nous présenter le film Bakoroman (de Simplice Ganou), dont elle a suivi tout le processus de développement.
Ce film retrace le parcours de jeunes de la rue se dirigeant vers Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, à la recherche d'une vie meilleure. C'est au travers de cette longue marche que nous découvrons leur quotidien.
VENDREDI 7 FEVRIER 2014 :
Une rencontre particulière a eut lieu, un atelier/conférence autour du gamelan de Nanterre avec Estelle AMY DE LA BRETÈQUE.
VENDREDI 17 JANVIER :
Pour la première de l'année 2014, Olivier MORIN s'est déplacé spécialement de Vienne pour nous parler des cultures enfantines.
Abstract : Existe-t-il une culture enfantine, transmise essentiellement d'enfant à enfant ? Les folkloristes l'ont longtemps affirmé. Pourtant les théoriciens de la transmission culturelle ont du mal à expliquer comment cela serait possible. Dans des populations fréquemment renouvelées, comme le sont les groupes d'enfants, les traditions devraient s'user au rythme du roulement des générations. On proposera une solution à cette énigme.
VENDREDI 13 DÉCEMBRE 2013 :Comment faire l'ethnographie de la pornographie ?
Mathieu Trachman qui a travaillé sur le genre et la sexualité est venu essayer de répondre à cette question :
La pornographie est un terrain peu investi. Ce n'est pas seulement du fait de son illégitimité. C'est une catégorie floue, un monde dont les frontières ne sont pas évidentes à tracer. Et s'intéresser à la pornographie, c'est faire preuve d'un intérêt douteux vis à vis de représentations excitantes ou vulgaires. Il s'agira de se demander de quelles prises dispose l'enquêteur face à un tel objet, quelles sont les difficultés auxquelles il doit faire face et les stratégies de recherche possibles.
VENDREDI 7 MARS 2014 :
Muriel Champy, doctorante à Nanterre viendra nous présenter le film Bakoroman (de Simplice Ganou), dont elle a suivi tout le processus de développement.
Ce film retrace le parcours de jeunes de la rue se dirigeant vers Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, à la recherche d'une vie meilleure. C'est au travers de cette longue marche que nous découvrons leur quotidien.
VENDREDI 7 FEVRIER 2014 :
Une rencontre particulière a eut lieu, un atelier/conférence autour du gamelan de Nanterre avec Estelle AMY DE LA BRETÈQUE.
VENDREDI 17 JANVIER :
Pour la première de l'année 2014, Olivier MORIN s'est déplacé spécialement de Vienne pour nous parler des cultures enfantines.
Abstract : Existe-t-il une culture enfantine, transmise essentiellement d'enfant à enfant ? Les folkloristes l'ont longtemps affirmé. Pourtant les théoriciens de la transmission culturelle ont du mal à expliquer comment cela serait possible. Dans des populations fréquemment renouvelées, comme le sont les groupes d'enfants, les traditions devraient s'user au rythme du roulement des générations. On proposera une solution à cette énigme.
Lors de la deuxième Rencontre de l'année, Maurice GODELIER nous a accordé sa présence pour discuter des enjeux des nouvelles relations matrimoniales.
VENDREDI 8 NOVEMBRE 2013 :
Pour la première Rencontre de cette saison, Grégory DELAPLACE est venu nous parler des chevaux sensibles aux fantômes de Mongolie.
"Si le cheval est considéré par les Mongols comme le compagnon idéal de « l’homme viril », ce n’est pas seulement qu’il est un véhicule hors pair, rapide, endurant, et sachant se nourrir en toute saison de l’herbe qu’il trouve sur son chemin. S’ils l’estiment indispensable, c’est aussi qu’ils le présument capable de percevoir certaines choses qui échappent à la vue de son cavalier. Les Mongols, en effet, prêtent à leurs montures la capacité de sentir la présence des âmes, fantômes et autres choses invisibles."
